Cette semaine dans Vu de Rome : le baptême de 32 enfants en la chapelle Sixtine, la rencontre avec le corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège et l'annonce de la création de 19 cardinaux.
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Le Curé
Abbé Ildephonse NIYONGABO
Prêtre auxiliaire
Abbé Eric REBUFFEL
Cette semaine dans Vu de Rome : le baptême de 32 enfants en la chapelle Sixtine, la rencontre avec le corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège et l'annonce de la création de 19 cardinaux.
Aujourd’hui se présentent des situations inédites jusqu’à ces dernières années, et l'on comprend combien est urgente l’attention de l’épiscopat mondial en lien avec le Pape François face à ces défis. Les attentes qui s’en suivent sur les choix pastoraux à propos de la famille sont énormes. Une réflexion du Synode des Évêques sur ces thèmes est donc apparue nécessaire et urgente mais surtout comme une expression juste de la charité des pasteurs envers ceux qui leur sont confiés et de la famille humaine toute entière.
Un questionnaire a été élaboré pour permettre d'organiser un document de travail à partir des réalités pastorales. Ce dernier veut avant tout être une occasion d'exprimer des situations concrètes en vue d'une approche humaine et sensible par rapport aux situations les plus diverses.
Je vous invite à répondre ces questions (il n'est pas nécessaire de les traiter toutes) en utilisant le lien ci-dessous. Cette occasion est un réel appel à travailler ces questions personnellement ou en groupe, entre prêtres ou avec des fidèles (il y a même un non baptisé qui y a répondu).
Les 8 séries de questions ci-après, dont certaines ont été simplifiées, permettent de participer activement à la préparation du Synode Extraordinaire qui a pour but d’annoncer l’Évangile dans les défis pastoraux d’aujourd’hui concernant la famille.
https://docs.google.com/forms/d/1JIh77AaiEoD2rI8yRjKXagUrS6LNsskEeKbHvpNIRfg/formResponse
Vous pouvez le diffuser ou le communiquer pour que ceux et celles qui manifestent de l'intérêt pour cet enjeu majeur qu'est la famille (tant au niveau humain qu'au niveau pastoral).
Ce questionnaire est disponible jusqu'au 25 décembre 2013.
Je vous remercie vivement pour votre participation et votre collaboration.
abbé Franklin Parmentier
Suite du discours de clôture de l'assemblée des évêques de France par Mgr Pontier.
Les pilotes d'avion disent souvent que survoler la Pologne de nuit le 1er novembre est un moment magique. Le jour de la Toussaint, tous les cimetières du pays sont éclairés par des milliers de bougies et les tombes garnies de fleurs.
https://picasaweb.google.com/116861045953938122411/CimetieresLaNuit
A l'occasion du pèlerinage des familles à Rome, Mgr Jean-Luc Brunin, Président du Conseil Famille et Société pour la Conférence des Évêques de France, répond aux questions de KTO : Comment articuler la promotion de LA Famille et l'accompagnement DES familles dans leurs réalités diverses? La famille est elle menacée en France ? Quelle est la mission de la famille dans l'Église ? Et quelle est la mission de l'Église auprès des Familles ?
Dans un article publié mercredi 23 octobre dans L’Osservatore Romano, Mgr Gerald Muller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, approfondit les fondements du caractère indissoluble du mariage pour rappeler la position de l’Église vis-à-vis des divorcés remariés, quelques jours après l’annonce d’un synode extraordinaire sur la famille en septembre 2014. Extraits.
• Des questions à discuter en accord avec la doctrine
« Aujourd’hui, des personnes tout à fait croyantes se demandent sérieusement : l’Église ne peut-elle pas permettre aux fidèles divorcés remariés d’accéder, sous certaines conditions, aux sacrements ? L’Église a-t-elle les mains liées à jamais en cette matière ? Les théologiens ont-ils vraiment déjà dégagé toutes les implications et les conséquences relatives à cet égard ? Ces questions doivent être discutées en accord avec la doctrine catholique sur le mariage. Une pastorale responsable présuppose une théologie qui s’en remet tout entière et librement à Dieu “dans un complet hommage d’intelligence et de volonté à Dieu qui révèle et dans un assentiment volontaire à la révélation qu’il fait” (concile Vatican II, constitution dogmatique Dei verbum, n. 5). »
• Une indissolubilité voulue par le Christ
« [Jésus] prit expressément ses distances d’avec la pratique vétérotestamentaire du divorce, que Moïse avait permise à cause de la “dureté de cœur” des hommes, et renvoya à la volonté originaire de Dieu : “Mais au commencement de la création, Dieu les fit homme et femme. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme ; et les deux seront une seule chair ; […] Que l’homme ne sépare donc point ce que Dieu a uni” (Mc 10, 5-9 ; cf. Mt 19, 4-9 ; Lc 16, 18). L’Église catholique, dans son enseignement et dans sa pratique, s’est constamment référée à ces paroles de Jésus sur l’indissolubilité du mariage. Le pacte qui unit intérieurement les deux conjoints est institué par Dieu lui-même. Il désigne une réalité qui vient de Dieu et n’est donc plus à la disposition des hommes. »
« Le concile de Trente a confirmé la doctrine de l’indissolubilité du mariage sacramentel et a déclaré qu’elle correspond à l’enseignement de l’Évangile (cf. DH 1807). »
« Le concile Vatican II a proposé une doctrine théologiquement et spirituellement profonde du mariage dans la constitution pastoraleGaudium et spes sur l’Église dans le monde de ce temps. “Cette union intime, don réciproque de deux personnes, non moins que le bien des enfants, exigent l’entière fidélité des époux et requièrent leur indissoluble unité” (n. 48). Au moyen du sacrement, Dieu offre aux époux une grâce spéciale : “De même en effet que Dieu prit autrefois l’initiative d’une alliance d’amour et de fidélité avec son peuple, ainsi, maintenant, le sauveur des hommes, Époux de l’Église, vient à la rencontre des époux chrétiens par le sacrement de mariage. Il continue de demeurer avec eux pour que les époux, par leur don mutuel, puissent s’aimer dans une fidélité perpétuelle, comme lui-même a aimé l’Église et s’est livré pour elle” (ibid.). »
• Le souci de l’Église pour les divorcés remariés
« Dans l’exhortation post-synodale Sacramentum caritatis du 22 février 2007, Benoît XVI réaffirme “la pratique de l’Église, fondée sur la Sainte Écriture (cf. Mc 10, 2-12), de ne pas admettre aux sacrements les divorcés remariés”, mais il conjure presque les pasteurs d’âmes à consacrer une “attention spéciale” aux personnes concernées, “désirant qu’elles développent, autant que possible, un style de vie chrétien, par la participation à la messe, mais sans recevoir la communion, par l’écoute de la parole de Dieu, par l’adoration eucharistique et la prière, par la participation à la vie de la communauté, par le dialogue confiant avec un prêtre ou un guide spirituel, par le dévouement à la charité vécue et les œuvres de pénitence, par l’engagement dans l’éducation de leurs enfants” »
« Le dernier synode des évêques sur le thème “La nouvelle évangélisation pour la transmission de la foi chrétienne” (du 7 au 28 octobre 2012) s’est à nouveau occupé de la situation des fidèles qui, suite à l’échec d’une communauté de vie matrimoniale (non pas l’échec du mariage, qui subsiste en tant que sacrement), ont noué une nouvelle union et vivent ensemble en dehors du lien sacramentel du mariage. Dans le message final, les pères synodaux se sont adressés avec ces mots aux fidèles concernés : “À tous ceux-là nous voulons dire que l’amour du Seigneur n’abandonne personne, que l’Église les aime aussi et reste une maison accueillante pour tous, qu’ils demeurent membres de l’Église même s’ils ne peuvent recevoir l’absolution sacramentelle et l’eucharistie. Que les communautés catholiques soient accueillantes envers tous ceux qui vivent ces situations, et qu’elles favorisent des chemins de réconciliation.” »
• Des mariages « plus souvent invalides » aujourd’hui
« La mentalité contemporaine se place largement en opposition à la compréhension chrétienne du mariage, notamment par rapport à son indissolubilité ou à l’ouverture à la vie. Étant donné que beaucoup de chrétiens sont influencés par cette mentalité, les mariages sont probablement plus souvent invalides de nos jours qu’ils ne l’étaient par le passé, parce que manque la volonté de se marier selon le sens de la doctrine matrimoniale catholique et que la socialisation dans le contexte vivant de foi est trop réduite. C’est pourquoi une vérification de la validité du mariage est importante et peut conduire à une solution de problèmes. Là où il n’est pas possible de constater une nullité du mariage, l’absolution et la communion eucharistique présupposent, selon la pratique éprouvée de l’Église, une vie commune “comme amis, comme frère et sœur”. »
• Un parcours « pas simple » mais signifiant
« Bien que l’admission des divorcés remariés aux sacrements ne soit pas possible en raison de la nature profonde de ces derniers, les efforts pastoraux s’imposent d’autant plus envers ces fidèles, même si ceux-ci doivent se conformer aux normes dérivant de la Révélation et du magistère de l’Église. Le parcours indiqué par l’Église pour les personnes concernées n’est pas simple, mais elles doivent savoir et sentir que l’Église accompagne leur chemin en tant que communauté de salut. À travers leur effort pour comprendre la pratique de l’Église et ne pas s’approcher de la communion, les partenaires rendent témoignage, à leur manière, à l’indissolubilité du mariage. »
« Le souci pour les divorcés remariés ne devrait certes pas se réduire à la question de la réception de l’eucharistie. Il s’agit d’une pastorale plus globale qui cherche à tenir compte le plus possible des différentes situations. Il est important de savoir, à ce propos, qu’outre la communion sacramentelle, il existe encore d’autres manières d’entrer en communion avec Dieu […]. Les pasteurs d’âmes et les communautés chrétiennes sont appelés à accueillir avec ouverture et cordialité les personnes vivant dans des situations irrégulières, pour être à leurs côtés avec empathie, les aidant et pour leur faire sentir l’amour du Bon Pasteur. »
Noémie Bertin
Célébrer le Dimanche missionnaire mondial (DMM) c’est se rappeler que le propre de la vocation chrétienne est d’apporter la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ. Plus encore, c’est être appelé à le faire avec tout ce que nous sommes et dans tout ce que nous faisons, afin que le Christ soit connu de toute personne. Mais pour cela faut-il encore que nous soyons enracinés et fondés dans le Christ, affermis dans la foi. (cf. Col 2, 7)
Cet appel missionnaire est inspiré en partie des paroles que saint Paul a écrites à Timothée : « C’est pourquoi je te rappelle d’avoir à raviver le don de Dieu qui est en toi depuis que je t’ai imposé les mains. Car ce n’est pas un esprit de peur que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d’amour et de maîtrise de soi. » (cf. 2 Tm 1, 6-8)
L’exhortation paulinienne a des résonnances très fortes aujourd’hui. Mais ce message est encore plus parlant une fois placé sous l’angle du nouveau pontificat du pape François. Lorsqu’en mai dernier le Saint-Père s’adressait aux participants de l’Assemblée générale des Œuvres pontificales missionnaires, il avait ceci à dire : « Nous en sommes tous de simples instruments, mais importants ; nous avons reçu le don de la foi non pour la garder cachée, mais pour la diffuser, afin qu’elle puisse illuminer le chemin de tant de nos frères. »
Le Dimanche missionnaire mondial est donc un appel à nous unir dans la foi. La grande collecte du DMM qui, en octobre, est faite par tous les diocèses du monde constitue un moyen unique pour soutenir l’activité missionnaire: formation des catéchistes, aide aux œuvres sociales, pastorales et éducatives des Églises qui dépendent encore de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, c’est-à-dire les plus pauvres du monde. Plus encore, nous sommes appelés à fortifier notre foi et à devenir témoins afin que soit exprimé par notre prière et par notre vie, la communion avec ces Églises qui, même pauvres, ne cessent d’apporter l’Évangile à l’Humanité.
En ce Dimanche missionnaire mondial 2013, l’apôtre Paul, tout comme le Saint-Père, nous appelle à ne pas avoir honte de rendre témoignage à notre Seigneur, à ne pas avoir honte de ceux et celles qui, fidèles à Dieu, se donnent pour lui et pour l’Évangile. (cf. 2 Tm 1, 6-8)
http://www.opmcanada.ca/oppf/dmm/dimanche-missionnaire-mondial-2013
A l'occasion de la semaine missionnaire je vous propose visite en Zambie avec quelques photos d’un prêtre (J. Swierczek, Pologne) faits pendant sa visité dans ce beau pays.
A l'occasion de la Semaine Missionnaire Mondiale, KTO vous propose chaque jour un témoignage sur la mission à travers le monde. "Nous n'avons pas reçu le don de la foi pour la garder cachée, mais pour la répandre, afin qu'elle puisse éclairer la route de tant de frères et sœurs" disait le Pape François, le 17 mai à Rome, aux directeurs nationaux des Œuvres Pontificales Missionnaires (OPM). En partenariat avec les OPM.